Ce qu'il faut savoir d'une boîte noire
Pour parler de boîte noire, il faut premièrement diriger ses idées vers un avion, l'engin qui en possède de toute évidence. En effet, chaque avion est outillé de boîte noire. Ceci permet d'enregistrer les informations émises depuis l'avion. Au cas où il y aurait un accident en vol, les récentes informations sont stockées pour servir de preuve. En se basant sur ces données, les enquêteurs ont 90 % des éléments pouvant déterminer la cause dudit accident. Ça se fait à travers une reconstitution ou encore une simulation du vol.
Il y a deux types de boîtes noires
En matière de boîte noire, vous avez d'abord les CVR (cockpit voice recorder) qui s'occupe d'enregistrer les conversations du cockpit, entre les membres de l'équipage et entre l'équipage et les organismes de contrôle de circulation aérienne. Toutes les 30 à 120 minutes, la boîte noire recommence à zéro et fait l'enregistrement de nouvelles données pendant une demi-heure. Ainsi, en cas de crash, la boîte noire a déjà enregistré les dernières conversations, les plus utiles pour ouvrir une enquête et en savoir plus sur les causes du drame.
Il y a ensuite les FDR (flight data recorder) qui eux, permettent en effet de restituer la trajectoire, le fonctionnent des équipements, les actions de l'équipage. Ils ont une plus grande capacité plus qu'ils enregistrent jusqu'à 25 heures de données. Pour d'autres détails, visitez ce site internet https://www.camabord.com/.
Comment peut-on retrouver les boîtes noires après un crash ?
Dans un avion, chaque boîte noire est en effet équipée d'une balise ULB qui se déclenche au cas où il y aurait immersion. Pendant 30 jours, elle émet alors un signal ultrason. Au-delà de ce délai, impossible pour la boîte noire d'émettre encore un signal et devient difficile à trouver voire impossible. Aussi, il y a aussi la question de la profondeur. Si ça dépasse certaines limites, même avant 30 jours, impossible de tracer la boîte noire.